De “Reine des frites” à Développeuse d’applications e-novantes

Il y a 7 ans j’ai créé mon premier site internet, ce fut le début de mon aventure.
Après une mission de deux ans en startup où j’ai développé un site e-commerce à 500.000 euros de chiffres d’affaires par an, j’ai décidé de faire profiter plus d’entrepreneurs de mon expertise. Je vous retrace cet exaltant et terrifiant voyage.

Mais d’abord, Développeuse e-novante c’est quoi ?

Être développeuse d’applications e-novantes, c’est connaitre les nouvelles technologies et vous proposer celles qui feront vraiment la différence dans votre business.

Ces dernières années, j’ai travaillé avec plusieurs start-up dont l’application sportive la plus téléchargée en France. Aussi j’ai administré un blog à 10 000 vues par jour et je développe régulièrement des applications métier sur mesure.

J’adore implémenter tout ce savoir et mettre mes compétences au service des entrepreneurs, dans l’unique objectif : les aider à réaliser à rendre leurs utilisateurs heureux !

Deux options pour en savoir plus sur vous et sur moi

L’audit gratuit de votre site internet et présence en ligne

Le guide de la boutique en ligne des entrepreneur.e.s en 3h/semaine

A propos de moi

Le monde des startup m’a façonné en tant que développeuse d’applications web. J’ai vite découvert l’enjeu de l’entreprenariat : être capable d’appliquer ses stratégies rapidement.
Avec cet ebook j’espère vraiment vous apporter les clés pour bien gérer votre boutique en ligne. J’ai compilé mon expérience dans un ebook pour résoudre les nombreux problèmes que rencontrent les entrepreneur·e·s lorsqu’ils se lancent sur internet.
Je vous souhaite une bonne lecture et de nombreuses ventes.

Ramadanoski Julie

L’origine d’une carrière freelance dans le e-commerce

Ça faisait déjà quelques années que je travaillais au McDo, j’avais 23 ans. Mon quotidien c’était les livraisons, nettoyer les stocks, former et gérer l’équipe de la cuisine… quand je n’étais pas postée aux frites.

Tristement célèbre, quand tu gères seule un poste où l’affluence demande à être deux on a du mal à te remplacer. Ainsi j’ai gagné plusieurs fois le titre de “Reine des frites”. J’en étais très fière, et ça aurait pu être pire, ils auraient pu le nommer “Madame Patate”.

Malgré tout mon investissement, ma volonté de reprendre des études à complètement bloqué mon évolution dans la société.

Condamnée à former mes supérieurs et, le comble, impossible de trouver une école supérieure qui formait sans le BAC.

Après un an de recherches infructueuses, je me suis résigné à jouer à ce jeu stupide. J’allais repasser mon BAC en cours du soir dans le but de m’inscrire ensuite dans une école de développement logiciel. Ce qui n’était clairement pas gagné car je faisais parti des élèves qui se maintenaient à 10/20 pour éviter les punitions.

Alors tous les jours, je devais m’imaginer à nouveau derrière la friteuse pour me motiver à faire des devoirs d’un niveau clairement au dessus de mes capacités.

Absorber des années de connaissances en un temps record juste pour espérer me payer une formation, alors que, je n’en avais même pas les moyens.

La semaine des examens je frise la catastrophe. Je n’ai jamais compris à la Physique et mes bonnes notes des autres matières  pouvais pas rattraper cette lacune. Mais je ne pouvais pas abandonner après avoir tout sacrifié pendant un an. Alors J’ai bûché toute le jour et toute la nuit précédant l’examen et j’ai enfin compris le la logique derrière ces équations, de 2.5/20 je passe à 13/20.

C’est avec beaucoup de stress et de bonheur que je passe ce premier cap. D’ailleurs je peux l’annoncer d’emblée, la suite n’a été que plaisir ou presque…

Les premiers pas dans la réalisation d’un rêve

Épaulée par ma moitié qui m’a proposé de vivre avec elle pour que je puisse reprendre mes études (sans elle rien n’aurait été possible). Je me suis sentie soutenue et portée par une passion d’apprendre le métier que j’avais enfin choisi.

Je fantasmais de coder des systèmes critiques, comme des programmes de trains ou d’avions. Mais j’ai eu un déclic lors d’un stage dans une agence web.

La joie et le soulagement que j’ai vu dans le regard de cet entrepreneur lorsqu’il a lu les chiffres de sa boutique en ligne. C’est à ce moment là que je me suis rendue compte que je pouvais avoir beaucoup d’impact dans la vie des gens autour de moi.

Ce n’était plus la peine de m’exiler dans une grande ville, à travailler dans une grande entreprise, où je coderais des morceaux d’une grande application, sans jamais savoir pourquoi, ni pour qui.

C’est dans cet état d’esprit que j’ai commencé à développer des applications en tant que salariée dans le e-commerce. 
J’avais le pouvoir d’aider les entreprises locales à :

  1. Gagner de la visibilité
  2. Augmenter leur chiffres d’affaires
  3. Faire face à la concurrence
  4. Gagner de nouveaux marchés

 

L’angoisse de l’entreprenariat

Vous avez déjà ressenti cette sensation dans vos tripes lorsque vous vous sentez prendre la bonne décision, prêt à passer à l’action ? Hé bien, mes tripes n’avaient pas tort. Sitôt la décision prise que je dois faire appel à elle pour plonger dans les affres administratives.

Pour cette étape, j’ai eu beaucoup de chance. Mon voisin et confrère, Fabien, me donne toute les astuces. Il a su me donner toutes les informations et m’a accompagné dans la création de mon entreprise. Par exemple comment différencier les formulaires nécessaires des arnaques et me conseiller sur les meilleures options de la micro-entreprise.

Un grand merci à lui, j’ai gagné beaucoup de temps sur mon lancement et donc mes premières rentrées d’argent. Nous travaillons toujours ensemble avec plaisir quand l’occasion se présente.

Seulement les premiers mois ne se passent pas du tout comme prévu. Je ne sais pas comment attirer des clients. J’ai un peu de budget mais je ne veux pas le balancer par les fenêtres.

Bien sûr je me suis bien rendue compte que mon inaction à vouloir économiser l’argent mis de côté pour la société servait à me payer à ne pas travailler.

“ Devenir cheffe d’entreprise me demande des compétences nouvelles : je dois apprendre à vendre.”

Voilà encore quelque chose que l’on nous apprend pas à l’école ! Je voulais juste vivre de mon savoir faire du développement en e-commerce et voilà qu’il me manquait quelque chose d’essentiel : savoir se vendre.

Rencontres sur d’autres sphères entrepreneuriales

Au fur et à mesure des formations je voyage et rencontre des personnalités fortes de l’entreprenariat. Nous travaillons côte à côte et je m’imprègne de leur façon de penser et de voir le monde.

On applique ensemble les stratégies, j’apprends tout des ficelles du marketing en ligne. Ils me délèguent les publicités, je propose des nouveaux publics à cibler, code les nouvelles fonctionnalités demandé par les utilisateurs. Surtout nous restons focus sur les objectifs à tenir.

C’est ce qui fantastique dans l’environnement des startup c’est la liberté. Dans ces projets nous apprenons tellement vite. Inspirés, nous avons testés des nouvelles possibilités souvent sans effets et quelquefois avec des résultats dépassant l’objectif.

Au final, c’est toujours la persévérance du travail d’équipe qui finit par payer, combiner les forces de chacun et laisser les intuitions s’exprimer.

Les missions se terminent les unes après les autres. Mais

La formation ne s’arrête jamais

Je trouve une formation dont le concept me convient bien. C’est une formation à distance avec un suivi mensuel avec un coach. Le contenu était très pertinent et pédagogique. Mais au final j’en étais assez déçu car le coaching avec mon mentor se résumait toujours à la même conclusion : “C’est bien continue comme ça ! “

Non mais quelle frustration ! Payer une fortune pour s’entendre dire “c’est bien, continue ! ” alors que chaque action demande une énergie folle à mettre en place et à exécuter. Les mois passent et tout ça pour de si maigre résultats.

Repousser sans arrêt ses limites est épuisant et j’aurai vraiment apprécié un coup de main. Malheureusement les accompagnement personnalisées ça n’existe pas dans mon budget.

Du coup je me pose des questions : est-ce une volonté politique de faire de nous de bon exécutants en nous instillant sur les banc de l’école une peur viscérale de se tromper et l’angoisse de s’exprimer au tableau 2 fois par an ? ou est-ce un effet de bord si pour vivre par soi-même il faille briser toutes les barrières sociales mise en place dès l’enfance ?

Quoi qu’il en soit, ça devenait évident. Pour passer au niveau supérieur je devais me remettre profondément en question. Il me fallait de l’aide pour gagner confiance en moi et atteindre mes objectifs.

    L’histoire s’écrit jour après jour

    C’est la raison pour laquelle j’ai naturellement intégré le coworking GAAAP, je suis actuellement entourée de professionnels indépendants et reste dans l’environnement Startup grâce à l’incubateur juste à côté.

    Que ça fait du bien d’avoir des collègues de travail, partager ses dernières découvertes autour d’un café. Se conseiller les uns les autres sur nos façons de travailler. 

    Et puis, nous avons accès à des formations dans le domaine de l’entreprenariat et le bien être pour mieux gérer son stress et ses émotions. C’est une chance incroyable d’être si bien entourée et progresser. 

    Partager ce que j’ai vécu et aider là où je suis est tellement important que ça vaut le coup de se surpasser. Être développeuse e-commerce sur Gap c’est relever tous les défis des entrepreneurs ruraux, ce n’est certes pas facile toutefois je souhaite la vivre avec vous.

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